Compte-Rendu 6e Journée – 1re Phase (27 et 28/11)
Dames
N2
AMO Mer TT 1 | Ent. Bourgetin / Villepinte 1 |
DOMINIQUE Justine (N 172 – 1723) | LEFRANC Elodie (N 239 – 1593) |
PASZEK Aleksandra (N 193 – 1675) | HOSENALLY Oumehani (1488) |
PIESSET Pauline (N 216 – 1635) | POURLIER Gwendoline (1143) |
MORDELET Coline (N 231 – 1609) | HOSENALLY Ashfani (975) |
Victoire très ample : 8 à 1 (9 à 1 en tenant compte de toutes les parties disputées). Nettement favorites sur le papier, les Méroises ont démontré derrière la table leur indéniable supériorité. Justine et Aleksandra ont ouvert le bal et n’ont accordé que trois valses à leur première cavalière : E. Lefranc pour Justine et G. Pourlier pour Aleksandra. Changement de rythme et ambiance beaucoup plus rock’n’roll pour Pauline et Coline. Toutes deux ont dû concéder cinq danses lors de leur premier mano a mano. Pauline a même frisé la correctionnelle face à Oumehani Hosenally : elle était menée deux sets à un et 9-3 dans le 4e set (!) avant d’enclencher le turbo et de lâcher les chevaux pour terminer en trombe et étourdir sa rivale à la belle. Quant à Coline, il lui a fallu batailler pour se dépêtrer au 5e set de la jeune Ashfani Hosenally qui voulait « danser avec les stars ». 4-0. Deuxième tour de piste sans encombre pour Justine, Aleksandra et Pauline qui ont mis au pas respectivement G. Pourier, E. Lefranc et A. Hosenally. Seule Coline s’est pris les pieds dans le tapis face à la meilleure cavalière francilienne de la soirée : Oumehani Hosenally. 7-1. Ce faux pas obligeait les équipes à s’engager dans deux paso dobles pour prolonger le gala. Le couple Pauline / Coline a terrassé le duo G. Pourlier / O. Hosenally en trois sets et mis un terme à la rencontre. Pendant ce temps, Justine et Aleksandra, pour n’être pas en reste, infligeaient le même châtiment au couple E. Lefranc / A. Hosenally.
N3
AMO Mer TT 2 | AS Saint-Christol-lez-Alès 1 |
SICART- LE ROY Calixta (1229) | ROUSSIOT Lucie (1326) |
TRIOREAU Lucie (1135) | LEYDIER Annabelle (1275) |
BOISAUBERT Françoise (1048) | MICHEL Manon (1185) |
CAILLIBOT Charlotte (786) | DECOMBLE Anouche (1163) |
Défaite logique, pourtant teintée d’amertume : 8 à 6. En l’absence de Desislava, les Méroises n’avaient pas les faveurs du pronostic dans cette confrontation avec le leader de la poule. Pourtant, à l’arrivée, la défaite était amère car elles eurent l’opportunité de faire toucher les épaules à cette équipe invaincue ou, a minima, de la contraindre au partage des points. D’entrée, Calixta frappa un grand coup en exécutant M. Michel en trois sets. Enthousiasme rapidement douché car les visiteuses alignèrent trois succès consécutifs. Charlotte tint la dragée haute à M. Roussiot, la meilleure joueuse gardoise, mais s’inclina logiquement contre plus forte qu’elle. Puis Lucie fut laminée par A. Leydier. En parallèle, Françoise bataillait contre A. Decomble qu’elle entraîna jusqu’au 5e set. Hélas, elle fut crucifiée 17-15 à la belle et cet échec ne permit pas de recoller au score ! C’était sans doute là le tournant du match. 1-3. Calixta, en pleine renaissance, éteignit alors l’incendie en battant L. Roussiot en quatre sets. Elle cueillait au passage une belle perf et donna un coup de boost à ses partenaires, notamment à Lucie qui soumit A. Decomble à la belle (petite perf à la clé). Seulement , entre-temps, M. Michel et A. Leydier avaient muselé Charlotte et Françoise, ce qui permettait aux Gardoises de garder leur mince avantage. 3-5. Les doubles offrirent aux Méroises une autre occasion d’égaliser. Calixta et Françoise vainquirent la paire Michel / Leydier en trois sets. Pendant ce temps, Charlotte et Lucie menaient deux sets à un face au duo Roussiot / Decomble. Elles eurent même l’opportunité de tuer la partie si elles avaient remporté le 2e set au lieu de le concéder 14-12 ! L’occasion ne se représenta plus et elles finirent par s’incliner à la belle. 4-6. Calixta et Lucie, remontées comme des pendules, firent alors mordre la poussière à A. Leydier et M. Michel, s’octroyant par là-même deux nouvelles perfs. 6-6 ! Elles entretenaient l’espoir mais les deux dernières parties étaient normalement promises aux visiteuses. Il n’y eut pas de miracle. A. Decomble étrilla Charlotte. Françoise eut beau pousser L. Roussiot dans ses retranchements ; elle finit par succomber. Dommage !
Messieurs
N2
AMO Mer TT 1 | Ermont-Plessis Bouchard TT 1 |
AUFRÈRE Julien (N 260 – 2456) | PAPADIMITRIOU Dimitrios (N 197 – 2544) |
ARANDEL Julien (N 366 – 2345) | PETRIS Gerasimos (N 388 – 2327) |
LEZIN Anthony (N 481 – 2265) | LÉONARD Ronan (N 689 – 2142) |
MORDELET Hugo (N 610 – 2186) | PARIS Kentin (1860) |
Victoire précieuse : 8 à 6. Après Manom, c’était un autre concurrent direct pour le maintien qui était au menu de cette équipe. Il était donc préférable de le tenir à distance et d’entériner le maintien pour pouvoir se rendre l’esprit tranquille au Chesnay, chez le leader, lors de la dernière journée. Les Mérois furent bien inspirés de débuter la rencontre sur les chapeaux de roue car l’avantage initial qu’ils acquirent dès la première rotation se révèlera déterminant par la suite. Si Julien Aufrère fut logiquement battu par le fer de lance ermontois, D. Papadimitriou, Julien Arandel et Hugo soumirent tout aussi logiquement qui R. Léonard, qui K. Petris. Le bonus fut apporté par Anthony qui triompha en quatre sets de G. Petris, avec une perf à la clé. 3-1. La 2e rotation fut sans surprise : les défaites de Julien Arandel face à D. Papadimitriou et d’Hugo face à G. Petris furent compensées par les victoires de Julien Aufrère sur R. Léonard et d’Anthony sur K. Petris. 5-3. Les doubles, qui finirent à la belle, se soldèrent ensuite par un partage des points. Seuls, Hugo et Julien Arandel sortirent victorieux dans le duel qui les opposait à la paire Petris / Paris. 6-4. Maigre avantage, mais avantage tout de même ! Il suffisait de faire jeu égal avec les Franciliens lors de l’ultime rotation. Julien Aufrère montra la voie en exécutant G. Petris en trois sets. Réplique immédiate de D. Papadimitriou aux dépens d’Anthony. 7- 5. Hugo eut alors l’occasion de sceller définitivement le sort de la rencontre. Mené deux sets à zéro par R. Léonard, il revint à sa hauteur, mais fut crucifié 11-9 à la belle. Il incombait donc à Julien Arandel de porter l’estocade face à K. Petris, ce qu’il fit sans trembler.
PN
AMO Mer TT 2 | Berrichonne Châteauroux 2 |
LEMEY Anthony (N 957 – 2034) | JOMEER Lenaïc (N 936 – 2041) |
FERRANDEZ Mathis (1799) | DEMANET Alexis (1878) |
FORHAN Grégoire (1679) | LIÉGEOIS Benjamin (1861) |
DEMAISON-LE TOULLEC Pierre (1616) | BIDRON Jean-Baptiste (1832) |
Défaite logique, mais un peu sévère : 8 à 2. Face à un prétendant légitime à la montée, les Mérois s’attendaient à souffrir. Néanmoins, ils avaient bien l’intention de lui mener la vie dure. L’affrontement se présentait d’ailleurs sous les meilleurs auspices pour les Mérois puisqu’à l’issue de la 1re rotation, ils étaient au coude à coude avec les Berrichons. Alors que Mathis était logiquement défait en quatre sets par Lenaïc Jomeer, Pierre donna un grand coup de pied dans la fourmilière. Mené deux sets à un par Alexis Demanet, il conquit de haute lutte le 4e set (24-22 !!) et triompha 11-6 à la belle, s’octroyant de facto la grosse perf de la soirée. Anthony enfonça ensuite le clou en domptant Benjamin Liégeois au terme de trois sets accrochés pendant que Grégoire subissait la loi de Jean-Baptiste Bidron. 2-2. Ce ne fut hélas qu’un feu de paille car la 2e rotation sonna la fin des illusions pour les Mérois : L. Jomeer exécuta Pierre, Mathis ne put que subtiliser un set à A. Demanet et Anthony sombra face à J.-B. Bidron. Grégoire qui menait deux sets à un contre B. Liégeois eut l’opportunité de tuer le match et d’entretenir l’espoir, mais il ne sut pas conclure et concéda le 4e set 14-12 avant de plier à la belle. Coup de marteau sur les têtes méroises. 2-6. Les Castelroussins en profitèrent pour plonger irrémédiablement le couteau dans la plaie. Ils s’accaparèrent sans réelle inquiétude les deux doubles et sifflèrent la fin de la récréation.
R2
AMO Mer TT 3 | US Orléans TT 2 |
FOURRÉ Mathieu (1640) | LO Van-Kailath (1522) |
LAVIE Guillaume (1587) | RICHER Nicolas (1369) |
BUZARD Jérôme (1440) | LECLERC Romain (1204) |
AIGRET Léo (1352) | SERRAIT Valentin (1198) |
Victoire écrasante : 13 à 1. Les Orléanais déploraient l’absence de leur leader Van Kailath Lo (1522) remplacé pour l’occasion par Y. Le Guillan (1339). Côté mérois, il y avait également un absent, Hugo, remplacé par Jérôme. En tout état de cause, la présence du leader orléanais n’aurait assurément que peu contrarié la démonstration de force des Mérois qui ont outrageusement dominé les débats. Mathieu, Léo et Guillaume ont rendu une copie parfaite : trois victoires individuelles chacun, généralement en trois sets, auxquelles il faut ajouter les deux doubles. Jérôme, auteur de deux succès face à Y. Le Guillan et R. Leclerc, a apporté sa contribution. Il n’a laissé qu’une miette aux visiteurs lors de l’ultime partie qui l’opposait à N. Richer. Mais c’est sans doute par bonté d’âme pour éviter aux Orléanais d’embrasser Fanny… !!
R3 1 (équipe 4)
Exempte
R3 4 (équipe 5)
AMO Mer TT 5 | TT Joué-lès-Tours 5 |
BOURGEAIS Jean-François (1296) | COLLOC’H Benoît (1196) |
GUIMONT Jean-Marc (1187) | MORON Bernard (1165) |
RADLÉ Jérôme (1142) | HUART Eric (1113) |
LECHESNE Philippe (1122) | FOUQUET Sandrine (1082) |
Victoire précieuse : 9 à 5. C’était un match couperet contre un rival direct pour le maintien. Les « Flingueurs » n’ont pas traîné pour faire parler la poudre. Philippe a dézingué à tout va lors des deux premières rotations, s’offrant au passage une perf aux dépens de B. Calloc’h. S. Fouquet fut sa deuxième victime. Jérôme qui affrontait ces mêmes adversaires a lui aussi épinglé S. Fouquet à son tableau de chasse. Jean-François fut aussi « prolifique » que Phiphi : il terrassa ses deux premiers rivaux, en l’occurrence B. Moron et E. Huart. Malheureusement, Jean-Marc n’était pas au diapason de son acolyte et il subit la riposte des deux Jocondiens. Néanmoins, les Mérois faisaient la course en tête : 5-3. Chaque équipe s’adjugea ensuite un double (victoire du tandem Jérôme / Jean-François sur la paire Moron /Huart). 6-4. L’affaire n’était pas encore dans le sac. Les « Flingueurs » déclenchèrent alors un feu nourri et les Jocondiens ployèrent sous la mitraille. Jean-François et Jérôme firent tomber en quatre sets, qui S. Fouquet, qui B. Moron puis Philippe, quasi jupitérien en ce dimanche, exécuta E. Huart en trois sets. La messe était dite. Jean-Marc, dont les cartouches étaient humides, poursuivit, quant à lui, son chemin de croix et but le calice jusqu’à la lie : il fut battu par B. Colloc’h et ne put apporter sa pierre à l’édifice. Méforme sans conséquence puisque ses compères avaient copieusement garni la musette auparavant !
PR
Vineuil-Suèvres TT 7 | AMO Mer TT 6 |
PAPON Philippe (1220) | FOUQUET Marius (990) |
MÉTREAU Nicolas (1155) | BRETON Jean-Claude (960) |
CHOLLET Quentin (1000) | TOUSSAINT Sacha (906) |
BIHEL Guillaume (966) | OUELLETTE Julien ((800) |
Lourde défaite : 34 à 20. Le rapport des forces était nettement en faveur des Vinoliens, d’autant plus que Thibaut était absent côté mérois. Néanmoins, la défaite promise a tourné à la correction. Seul Sacha a tiré une fois son épingle du jeu en simples : il a triomphé de G. Bihel avec une petite perf à la clé. Marius a été laminé par ce même joueur, mais il peut se targuer d’avoir contraint les trois autres Vinoliens à disputer cinq sets. Il a même tutoyé la victoire face à N. Métreau, mais a été coiffé sur le poteau (11-9). Pour Jean-Claude et Julien, la marche s’est révélée un peu haute. Le second point conquis par les Mérois l’a été en double par la paire Sacha /Marius aux dépens de Q. Chollet et N. Métreau.
D3
Vineuil-Suèvres TT 10 | AMO Mer TT 7 |
MANCEAU Brice (645) | THOMAS Célia (790) |
OUPTIER Hugo (612) | POULLIN Ludovic (580) |
FROMET Jeanne (607) | CLÉZARDIN Nicolas (500) |
DEBROUX Théo (549) | CLÉZARDIN Sacha (471) |
Défaite logique : 29 à 25. Si Célia était au-dessus du lot, l’équipe vinolienne était plus homogène. Cette homogénéité lui a permis de remporter cette rencontre. Célia a démontré derrière la table sa présumée supériorité sur le papier : elle a triomphé de ses quatre opposants. Ludovic et Nicolas ont chacun apporté leur pierre à l’édifice. Ludovic a vaincu Jeanne Fromet et Nicolas, Théo Debroux. Sacha, bien qu’il soit rentré bredouille en simples, n’a pas à rougir de ses performances face à des adversaires mieux classés que lui. Il a notamment emmené Hugo Ouptier à la belle et, associé à Célia, s’est adjugé le 1er double, face au tandem Debroux / Manceau, 11-9 à la belle.
🙂