Compte-Rendu 5e Journée – 2de Phase (26 et 27/03)

Dames

N2

Victoire nette  :  8 à 1  (9 à 1 en tenant compte de toutes les parties disputées).         Les Méroises ont entamé cette rencontre pied au plancher et infligé aux Franciliennes un cinglant 4-0 lors de la 1^re rotation. Pauline, Aleksandra, Justine et Coline se sont montrées expéditives derrière la table et ont imposé leur loi avec autorité à, respectivement, S. Areil, A. Langeron, M. Chomis et H.A. Nguyen. Pauline a poursuivi sur la lancée en exécutant A. Langeron. Les Saint-Mauriennes ont alors amorcé une tentative de rébellion : Aleksandra en a fait les frais ; elle a trébuché en quatre sets face à S. Areil. Coline a ensuite été sérieusement chahutée par M. Chomis, mais elle est parvenue à crucifier cette dernière 11-9 à la belle et a coupé court à toute velléité de remontée, d’autant qu’en parallèle Justine laminait H.A. Nguyen. 1-7 à l’orée des doubles. Coline et Pauline ont alors asséné le coup fatal en atomisant la paire A. Langeron/H.A. Nguyen. Dans le même temps, Justine et Aleksandra mettaient un point d’honneur à remporter le second double à la belle. Les Méroises ont à peine eu le temps de savourer leur victoire car elles devaient rapidement prendre la direction de Mulhouse pour y affronter l’équipe locale le lendemain matin (rencontre avancée de la 6^e journée).

N3

Match nul honorable  : 7 à 7.        La rencontre ne débuta pas sous les meilleurs auspices. Lucie et Françoise qui affrontaient des adversaires à leur portée, M. Machard pour l’une et A. Hamelin pour l’autre, firent jeu égal mais succombèrent toutes les deux de justesse. Lucie fut coiffée sur le poteau 11-9 à la belle et Françoise s’inclina après trois sets très disputés (09 ; 09 ; 09). Desislava et Calixta s’empressèrent de remettre les pendules à l’heure : elles exécutèrent P. Rocher et G. Vincendon-Duc en trois sets. 2-2. Les deux équipes continuèrent à se rendre coup pour coup lors de la rotation suivante. Les victoires de Lucie face à A. Hamelin et de Desislava face à G. Vincendon-Duc firent écho aux défaites de Françoise face à M. Machard et de Calixta face à P. Rocher. Calixta, qui menait deux sets à zéro, fut toutefois à deux doigts de conclure au 4^e set (perdu 13-11 !). Une nouvelle occasion de faire le break venait de s’envoler. 4-4. Chaque équipe s’adjugea ensuite aisément un double pour prolonger le coude à coude. On se dirigeait vers un match nul si la logique des classements était respectée. Ce fut le cas. Desislava et Calixta domptèrent qui M. Machard, qui A. Hamelin ; Lucie et Françoise ne furent pas en mesure d’inquiéter P. Rocher et G. Vincendon-Duc.

Messieurs

N2

Victoire héroïque :  8 à 6.      Jamais les Nordistes n’avaient aligné une équipe aussi forte depuis le début de la phase ! La victoire méroise confine donc à l’exploit retentissant ! Julien Aufrère mit l’équipe sur une bonne orbite en « dézinguant » d’entrée D. Toma, le leader adverse, en trois sets. La réplique locale ne se fit pas attendre. Tour à tour, Hugo, Julien Arandel, et Anthony durent baisser pavillon au bout de quatre sets devant M. Tirselt, C. Evans et M. Nemaciuc, ce qui était assez conforme à la logique. 3-1. Coups de théâtre en série lors de la 2^e rotation. Hugo, en état de grâce, terrassa D. Toma (-08 ; 06 ; -12 ; -14) et empocha la plus grosse perf de la soirée. Julien Arandel épingla M. Nemaciuc à son tableau de chasse avec une petite perf à la clé (-08 ; 09 ; -09 ; -09) et Anthony envoya au tapis C. Evans (-09 ; -13 ; -16) pour, lui aussi, cueillir une perf conséquente. On crut un moment que Julien Aufrère allait se mettre au diapason de ses coéquipiers puisqu’il mena deux sets à zéro face à M. Tirselt, mais ce dernier trouva les solutions pour le neutraliser à la belle. Néanmoins, grâce à leur solidité sur les fins de sets, les Mérois recollaient au score. 4-4. Nouveau coup de théâtre lors des doubles. Tandis qu’Anthony et Julien Aufrère étaient battus en trois sets par la paire Toma/Nemaciuc, sur la table voisine, Hugo et Julien Arandel ferraillaient contre la paire Evans/Tirselt. Les deux duos avaient chacun remporté un set. Soudain, alors qu’Hugo et Julien menaient 6-2 dans le 3^e set, M. Tirselt ressentit une vive douleur au tendon d’Achille et fut contraint à l’abandon, offrant de ce fait le point du second double aux Mérois. 5-5.

       Ce petit coup de pouce du destin permettait en outre de glaner éventuellement un point supplémentaire sans coup férir puisque M. Tirselt devait affronter Anthony lors de l’ultime partie. Malgré ce coup du sort, les Nordistes avaient encore la possibilité de vaincre. D. Toma entretint l’espoir et redora son blason en faisant céder Julien Arandel. Il restait deux parties à jouer puisque la dernière était déjà acquise aux Mérois. Julien Aufrère défiait C. Evans et Hugo, M. Nemaciuc. Les deux parties connurent le même scénario. Julien et Hugo s’emparèrent tous deux des deux premiers sets avant de concéder les deux suivants. Julien, qui semble être sorti de son trou d’air, crucifia son opposant 11-9 au 5^e set et garantit au minimum le match nul. Hugo, véritablement stratosphérique, apporta la cerise sur le gâteau. Il dompta son rival 11-7 à la belle, s’octroya une 2^de grosse perf et envoya son équipe côtoyer le nirvana tout en s’érigeant comme l’homme du match. Chapeau bas, messieurs ! 

PN

Victoire à l’arraché :  8 à 4.      La rencontre était capitale pour ces deux équipes proches l’une de l’autre qui luttent âprement pour le maintien. Pierre ouvrit les hostilités contre A. Greinschgl : il réalisa l’exploit de le terrasser en trois sets avec une belle perf à la clé. Pendant ce temps, A. Lenormand infligeait le même traitement à Grégoire. 1-1. Anthony et Mathieu entrèrent alors en piste, le premier face à G. Lebas, le second face à R. Bris. La logique laissait présager un nouveau partage des points. Mais, si Mathieu subit normalement la loi de R. Bris qui lui était supérieur, quelle ne fut pas la consternation de voir Anthony mené deux sets à zéro par un Grégory Lebas en feu à qui tout réussissait ! Toutefois, le leader mérois, après avoir essuyé l’orage, ramena son rival à la raison et revint progressivement dans la partie pour finalement le clouer 11-9 à la belle !! Ouf ! Le boulet n’était pas passé loin ! 2-2. Les Saint-Cyriens prirent leur envol au début de la 2^e rotation. Ni Pierre face à A. Lenormand, ni Grégoire face à A. Greinschgl ne furent en mesure de contrecarrer les fulgurances de leur rival. 4-2. Anthony retrouva alors un peu de sérénité et prit la mesure en quatre sets de R. Bris. Sur la table voisine, Mathieu en décousait avec le feu follet G. Lebas qui l’entraîna dans un 5^e set. Le Mérois trouva les ressources pour le crucifier 13-11 à la belle !! Re-ouf ! 4-4 avant les doubles.

         C’est le moment que choisirent les Loir-et-Chériens pour porter un coup fatal aux Loirétains. Sous la houlette de Mathieu, maître tacticien et expert ès doubles, ils s’emparèrent des deux doubles. Pierre et Mathieu ne firent qu’une bouchée du tandem Greinschgl/Lebas tandis que Grégoire et Anthony muselaient le duo Bris/Lenormand en quatre sets. 4-6. Avantage crucial, mais pas rédhibitoire pour les Saint-Cyriens. Pierre et Anthony furent les premiers à entrer en lice pour la 3^e rotation. Pierre soumit en quatre sets un G. Lebas émoussé après sa débauche d’énergie initiale. Anthony avait la lourde tâche de terminer le travail contre l’imprévisible A. Greinschgl. Le duel s’acheva évidemment à la belle. 12-12 au 5^e set, service Greinschgl. Une balle qui heurte le filet, un service manqué et le 8^e point tombait dans l’escarcelle méroise !   La tour Anthony avait vacillé deux fois, mais elle était restée debout !

R2

Victoire confortable : 12 à 2.     Même en l’absence de Mathieu parti suppléer en PN, l’équipe s’est montrée solide et intraitable. Guillaume et Léo, avec trois succès individuels, se sont taillé la part du lion. Leurs deux victimes communes ont pour nom N. Bonvalet et F. Angibault. Guillaume a ajouté F. Grosjean, le leader berrichon, à son tableau de chasse et Léo, C. Franchet. Hugo a failli les imiter : après avoir vaincu N. Bonvalet et C. Franchet, il s’est incliné 12-10 à la belle devant F. Grosjean. Jérôme a apporté son écot en prenant le meilleur sur les deux Indriens les moins bien classés. Les Mérois se sont en plus accaparé les deux doubles à la belle. Ils conservent donc le leadership de la poule et sont en position de force pour prétendre à la montée.     

 R3  1 (équipe 4)

Victoire très large :  12-2.      En déficit de victoires, cette équipe avait l’impérieux besoin de gagner pour se sortir de la zone dangereuse, surtout face à la lanterne rouge de la poule. Mission accomplie donc ! Les Mérois ont pris leurs adversaires à la gorge dès les deux premières rotations. David et Ethan ont vaincu (même si c’était dans la douleur pour leur 1^re partie) O. Lecuir et N. Brillard. Laurent a neutralisé A. Colaco et J. Germain en quatre sets. Yanis, qui a également affronté ces derniers, a battu A. Colaco après avoir subi la loi de J. Germain. 1-7 avant les doubles. L’affaire était quasi entendue. Les Mérois ont immédiatement plongé le fer dans la plaie en s’emparant des deux doubles. 1-9. Laurent a ensuite trébuché au 5^e set face au coriace O. Lecuir tandis que David, quelque peu laborieux ce dimanche, parvenait à triompher d’A. Colaco à la belle. Ethan, comme David, a réussi à préserver son invincibilité : il a crucifié J. Germain 13-11 au 5^e set. Yanis n’a pas voulu être en reste : il s’est offert pour finir un 2^e succès individuel au détriment de N. Brillard.

R3  4 (équipe 5)

Victoire sereine  :  9 à 5.      Les « Flingueurs » ont confirmé derrière la table leur présumée supériorité sur le papier. Philippe a fait mordre la poussière sans trop d’inquiétude aux deux premiers rivaux qui lui ont été proposés, à savoir G. Varvoux et C. Courtois. Patrick, qui remplaçait Jean-François blessé et qui était à court d’entraînement et de compétition, n’a pas connu la même réussite contre ces deux mêmes adversaires. Damien a aisément muselé D. Collet et D. Perdreau. Quant à Jean-Marc, s’il a réussi à faire entendre raison à D. Perdreau, il a subi les foudres de D. Collet à la belle. Avant les doubles, les Mérois avaient en tout cas fait un petit break : 5 à 3. Ils ont ensuite enfoncé le clou en s’adjugeant les deux doubles. Si Damien et Patrick n’ont pas eu à forcer leur talent pour soumettre la paire Varvoux/Perdreau, Jean-Marc et Phiphi ont dû souquer ferme pour terrasser le duo Courtois/Collet 11-9 à la belle. 7-3.  Damien a alors sonné le glas des espoirs tourangeaux en battant G. Varvoux en trois sets. Les défaites de Philippe et Patrick qui se sont ensuivies (face à D. Collet et D. Perdreau) devenaient anecdotiques. Jean-Marc a toutefois mis un point d’honneur à terminer sur une bonne note : il a coiffé C. Courtois sur le poteau (11-7 à la belle).

PR

Victoire large :  32 à 22.      Les Mérois se sont glissés dans le sillage de leur capitaine exemplaire. Thibaut, souverain ce samedi, a en effet mis sous l’éteignoir les quatre Montoiriens qui lui étaient opposés, tout en s’octroyant une belle perf aux dépens de V. Philippeau. Seul ce dernier a empêché Marius, Sacha et Julien d’en faire autant. Marius a néanmoins donné quelques frayeurs au leader adverse, ne s’inclinant que 11-9 à la belle. Avec trois succès chacun, les trois compères ont toutefois largement rempli leur contrat. Marius et Sacha ont de plus conquis un point supplémentaire en double face au tandem Sachet/Deschambres. A l’arrivée, l’addition est assez salée pour les Montoiriens qui ont disputé six belles et, très souvent, quatre sets.

D2  

Rencontre reportée à une date ultérieure  (cas de Covid-19 chez l’adversaire)       

D4

Victoire étriquée  :  16 à 14.        Mathéo s’est affirmé comme le patron de l’équipe : il a dominé avec autorité ses trois opposants. De plus, associé à Thomas, il a triomphé en double de la paire constituée par Timothé et Lola Malvault. Ce point conquis en double s’est révélé déterminant pour la victoire finale. Thomas y a largement contribué en disposant de S. Blondeau et L. Malvault. La déception est pour Laëlle qui est rentrée bredouille.

Rencontre avancée de la 6^e journée

Dames

N2

Victoire libératrice  :  8 à 4   (8 à 5 en tenant compte de toutes les parties disputées).     Cette rencontre était l’occasion de retrouvailles avec une vieille connaissance méroise, Katalina Gatinska, Kati pour les intimes. C’était aussi une rencontre capitale pour conforter définitivement la deuxième place de la poule derrière les intouchables Lilloises, ce qui propulserait l’équipe en N1 la saison prochaine. Les Méroises ouvrirent les hostilités de la meilleure des manières : Aleksandra fit chuter la n° 2 adverse, C.D. Molero, en quatre sets (10 ; -08 ; 13 ; 11), ce qui lui valut une belle perf, pendant que Pauline dominait à sa main A. Bauer. Coline tenta ensuite de faire plier Katalina, mais celle-ci, qui n’est pas née de la dernière pluie, s’évertua à lui rogner les ailes. Dans le même temps, Justine muselait tranquillement É. Berthon pour pouvoir faire la course en tête :  1-3.  Réaction mulhousienne dès l’entame de la 2^e rotation : Aleksandra subit les foudres d’A. Bauer et s’inclina 11-8 à la belle. Réponse du berger à la bergère : Pauline terrassa à son tour C.D. Molero avec une perf à la clé (11-6 à la belle). Puis Katalina lima les crocs de Justine en trois sets tandis que Coline exécutait É. Berthon.  3-5.  Les Méroises appuyèrent alors sur l’accélérateur lors des doubles qui constituent un de leurs points forts. Pauline et Coline laminèrent en trois sets la paire Gatinska/Molero. Justine et Aleksandra châtièrent de la même manière le duo Bauer/Berthon.  3-7. Un délicat fumet chatouillait les narines du président accompagnateur.  Katalina retarda l’échéance en battant sévèrement Aleksandra.  Coline eut le privilège de porter l’estocade. Elle épingla elle aussi C.D. Molero à son tableau de chasse, réalisa la plus belle perf de la soirée (-09 ; 04 ; 05 ; 07) et offrit la délivrance. Justine, dont la partie contre A. Bauer avait été lancée, avait de manière bien compréhensible la tête ailleurs :  sa défaite en quatre sets demeurait anecdotique et ne l’empêcha pas d’exulter avec ses coéquipières.  

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