Compte-Rendu 1re Journée – 2de Phase (22 et 23/01)

Dames

N2

Victoire très nette :  8 à 1 (9 à 1 en tenant compte de toutes les parties disputées).          Les Parisiennes déploraient les absences de Sarah Berge (N 115 – 1881) et d’Olga Korenkova (1440). Les deux suppléantes (classées 9) jouant un ton nettement en-dessous, la tâche des Méroises en fut grandement facilitée. Justine lança l’équipe sur la bonne orbite en soumettant en quatre sets Clara Collinet, la meilleure joueuse adverse. Dans son sillage, Desislava, Pauline et Coline exécutèrent respectivement A. Bénichou, M. Capoulade et L. Nozières pour infliger un 4-0 à leurs hôtes. La 2^e rotation s’annonça comme un copié-collé de la 1^re : Justine vainquit sans inquiétude A. Bénichou, mais C. Collinet stoppa l’hémorragie pour les Franciliennes en triomphant en quatre sets de Desislava. Cela n’émut pas outre mesure Pauline et Coline qui muselèrent à leur main L. Nozières et M. Capoulade. 1-7 avant les doubles. Il restait à porter le coup de grâce. Coline et Pauline s’en chargèrent dès le premier double : elles firent mordre la poussière en quatre sets à la meilleure paire adverse composée de C. Collinet et M. Capoulade. Justine et Desislava mirent un point d’honneur à remporter facilement le 2^nd double pour que l’équipe rende une copie quasi parfaite.

N3

Rencontre reportée (deux cas de Covid-19 dans l’équipe nordiste)        

Messieurs

N2

Victoire brillante :  8 à 5 (8 à 6 en tenant compte de toutes les parties disputées).

          Les Picards étaient privés d’un quatrième joueur numéroté, comme James Smith (N 341 – 2371) ou Farouk Salifou (N 660 – 2161) et devenaient de ce fait plus vulnérables. Néanmoins, avec leurs deux fers de lance, les N° 189 et 190, leur formation demeurait redoutable et la tâche des Mérois n’avait rien d’une sinécure. Julien Arandel ouvrit les hostilités de la meilleure des manières et boosta d’entrée le mental des Mérois : en quatre sets, il expédia au tapis l’un des leaders adverses, S. Spinicchia, et empocha au passage une perf de bon aloi. Piqués au vif, les locaux réagirent immédiatement. Anthony et Julien Aufrère en firent les frais. E. Valenet et E. Durand les exécutèrent en trois sets. Hugo remit les plateaux de la balance en équilibre grâce à sa victoire sereine sur A. Bouchenez, le maillon faible picard. 2-2. Nouveau partage des points lors de la 2^e rotation : les défaites logiques d’Anthony et d’Hugo face à S. Spinicchia et E. Durand furent compensées par la victoire de Julien Arandel sur E. Valenet (au 5^e set après avoir été mené deux sets à zéro) et celle de J. Aufrère sur A. Bouchenez. 4-4 à l’orée des doubles. Le mano a mano se poursuivit jusqu’au terme des doubles. Anthony et Julien Aufrère, s’ils chahutèrent la paire Durand / Spinicchia lors des deux premières manches (10 ; 10), cédèrent en trois sets. Pendant ce temps, Julien Arandel et Hugo laminaient le duo Valenet / Bouchenez. 5-5.

          Tout restait à faire. Cependant, les augures étaient plutôt favorables aux Isariens qui, sur le papier, devaient l’emporter trois fois sur quatre ! Les deux meilleurs puncheurs de chaque équipe furent les premiers à entrer en lice. D’un côté, Julien Aufrère face à Simone Spinicchia, de l’autre, Julien Arandel face à Eric Durand. Combats de titans, mais avec un net déficit de points pour les Mérois. Que croyez-vous qu’il advint ? Par deux fois, David terrassa Goliath. Trois uppercuts sans en encaisser un seul et Julien Aufrère mit S. Spinicchia à terre. Julien Arandel délivra, quant à lui, le premier direct, subit la riposte de son rival puis décocha deux formidables crochets dont E. Durand ne se releva pas. 5-7. Ces deux grosses perfs des fers de lance mérois assénaient un véritable coup de massue sur la tête des Picards, car il ne restait plus à Anthony qu’à battre A. Bouchenez pour décrocher la timbale ! Anthony ne se fit pas prier pour porter l’estocade et offrir à ses partenaires un goût de nirvana. En parallèle, Hugo essayait de parachever le succès mérois. Aux prises avec E. Valenet, il entraîna ce dernier dans un 5^e set décisif. Hélas, il dut rendre les armes à 11-8 à la belle. Cet échec était somme toute anecdotique et n’empêchait pas les Loir-et-Chériens de débuter la 2^e phase par un succès méritoire et prometteur. Ils le doivent pour une grande part à un Julien Arandel ressuscité qui a été stratosphérique et, sans conteste, « the Man of the Match ».

PN

Défaite logique :  8 à 2.       Compte tenu des absences de Mathis et Grégoire, les Mérois ne se faisaient pas d’illusions sur l’issue de la rencontre. Lors des premières rotations, Pierre et Thibaut ont tous deux subi implacablement la loi de C. Berthier et G. Pinel. Notons toutefois que Thibaut a arraché un set à ces deux derniers. Anthony et Cyril se sont mesurés, quant à eux, à E. Leriche et J. Jacqueline. Anthony, très solide, a tordu le bras en quatre sets à ses deux opposants et affirmé son statut de patron dans cette rencontre. En revanche, Cyril, en manque d’entraînement et de compétition, n’a jamais pu les inquiéter. 6-2 avant les doubles. Les Jocondiens ont ensuite enfoncé définitivement le clou en s’accaparant les deux doubles, malgré la bonne résistance du duo Pierre / Anthony face à la paire Berthier / Leriche (défaite 11-7 à la belle).

R2

Victoire au forceps  :  8 à 6.          Dès la première journée, les Vendômois et les Mérois, deux prétendants à la montée, durent se livrer un combat fratricide. Les forces en présence étaient équivalentes et l’issue du duel s’annonçait très incertaine. Côté mérois, les absences de Guillaume et d’Hugo étaient compensées par les présences de Grégoire et de David. Les deux premières rotations se ressemblèrent comme deux gouttes d’eau. Léo et David se frottèrent à tour de rôle à F. Gagnier et C. Hélie ; ils ne connurent que la défaite. David avait pourtant sérieusement contrarié C. Hélie avant de céder à la belle. Grégoire et Mathieu en décousirent avec A. Dussart et D. Gondouin ; ils ne connurent que le succès, en quatre sets pour Grégoire, en trois pour Mathieu. Score de parité donc : 4-4. Chaque équipe s’adjugea ensuite un double : défaite de Léo et David face à la paire Gagnier / Dussart et victoire de Grégoire et Mathieu face au tandem Hélie / Gondouin. 5-5. Les deux équipes étaient toujours au coude à coude. Grégoire lança alors idéalement le sprint final ; il terrassa Fred Gagnier, le leader vendômois en trois sets. Dans le même temps, A. Dussart mettait sous l’éteignoir un Léo pâlichon et permettait à son équipe de revenir au score. 6-6. Il restait deux parties à jouer et tous les scénarios étaient encore possibles. David apporta une bouffée d’oxygène en imposant sa loi (3 sets à 1) à D. Gondouin. Mathieu, impérial jusqu’alors, avait la victoire finale dans sa raquette. Seulement C. Hélie ne l’entendait pas de cette oreille : il prit un départ canon pour mener deux sets à zéro. Mathieu, qui ressentit à ce moment une douleur à la cuisse, était au bord du gouffre. Il s’arracha néanmoins pour sauver plusieurs balles de match et parvint à coiffer son rival sur le poteau (15-13 !) pour s’emparer du 3^e set. Le Vendômois ne le savait pas encore mais il venait de laisser passer sa chance. En effet, le capitaine mérois empocha ensuite le 4^e set avant de le crucifier à la belle ! Cruel épilogue pour les Vendômois. La roche Tarpéienne est proche du Capitole ! (Bis repetita placent)

 R3  1 (équipe 4)

Défaite logique  :  11 à 3.          Les forces en présence plaidaient indiscutablement en faveur des Tourangeaux, d’autant que les Mérois devaient composer avec les indisponibilités de David et d’Ethan. Le festin était donc promis aux locaux et les visiteurs ne devaient se contenter que de miettes. Mais c’était sans compter sur l’appétit d’ogre de Yanis qui, après avoir été normalement défait par C. Verna, a ensuite avalé S. Colson en guise de hors-d’oeuvre avant d’engloutir un énorme plat de résistance, en l’occurrence S. Gagner à qui il rendait plus de 400 points ! En dévorant ce dernier 11-8 à la belle, il engrangeait une perf pantagruélique qui mettait un peu de baume au cœur de ses coéquipiers. Pour Axel et Oscar, le menu proposé était un peu trop lourd à digérer et ils n’ont jamais eu l’occasion de se rassasier. Oscar a tout de même réussi à prendre un set à S. Colson. Axel, qui a affronté les deux meilleurs Génulphiens, a longtemps discuté le bout de gras avec T. Pouilly ; il lui a subtilisé le 2^e set et a concédé deux sets d’extrême justesse (9 ; 17) mais il n’a pu emporter le morceau. Toutefois, il n’est pas rentré de Touraine le ventre creux car, associé à Mickaël, il a ingurgité le 2^e double (11-8 à la belle) aux dépens du duo Pouilly / Colson. Mickaël n’a pas été loin de participer un peu plus aux agapes mais il a été privé de dessert par S. Colson qui le lui a raflé 11-6 à la belle.

R3  4 (équipe 5)

Match nul quelque peu décevant  :  7 à 7.          Les Mérois prirent un départ laborieux. Si les défaites initiales de Jérôme face à Y. Trioreau et de Jean-Marc face à M. Beluet semblaient logiques, celle de Jean-François, en trois sets, face à F. Portron était plutôt inquiétante. Heureusement, Damien mit un terme au départ en fanfare des Magdunois en soumettant L. Pilon. 3-1. La 2^e rotation se solda par un partage des points. Jérôme terrassa M. Beluet 11-7 à la belle pendant que Jean-Marc était défait par Y. Trioreau. Puis Jean-François, requinqué, dompta F. Pilon tandis que Damien, victime d’étourdissements pendant le 3^e set alors qu’il menait confortablement 2 sets à 0, dut rendre les armes à la belle devant F. Portron. 5-3 en faveur des Loirétains. Chaque équipe s’adjugea ensuite un double à la belle si bien que les Mérois couraient toujours après le score. 6-4. Ils appuyèrent alors sur l’accélérateur. Jérôme crucifia F. Pilon à la belle (11-8) et Damien, qui avait retrouvé ses esprits, exécuta Y. Trioreau, le leader magdunois, en trois sets. 6-6. Jean-François et Jean-Marc avaient donc la possibilité de faire basculer la victoire dans le camp mérois. Las, Jean-Marc concéda les 3^e et 4^e sets 11-9 et subit la loi de F. Portron. Dans le même temps, Jean-François, guère dans son assiette ce dimanche, donnait des sueurs froides à ses partenaires. Mais, acculé à la belle, il se fit violence pour coiffer M. Beluet sur le poteau (13-11) et ainsi sauvegarder le match nul qui est un moindre mal.    

PR

Défaite logique, mais trop sévère : 33 à 21.       Compte tenu de leurs classements supérieurs, les Vendômois bénéficiaient des faveurs du pronostic. Néanmoins, la note est un peu salée pour les Mérois qui ont disputé six belles. Le problème, c’est qu’ils en ont perdu cinq sur les six ! Marius a tiré son épingle du jeu en sortant deux fois vainqueurs de ses duels. Il a pris le meilleur sur F. Voisin et P. Fichepain (perfs à la clé) et a failli ajouter B. Lecomte à son tableau de chasse, mais ce dernier lui a soufflé la victoire 11-9 au 5^e set. Julien a apporté sa pierre à l’édifice et réalisé la belle opération de la soirée en domptant P. Fichepain 11-7 à la belle. Sacha et Célia sont revenus bredouilles non sans avoir vendu chèrement leur peau. Sacha a entraîné P. Fichepain et B. Lecomte jusqu’à la belle, mais les deux Vendômois ont à chaque fois eu le dernier mot. Célia a vécu la même mésaventure face à P. Fichepain. Les Mérois ont en outre perdu les deux doubles dont l’un encore une fois à la belle, ce qui a encore alourdi le score.

D2

   Exempte    

D4

Victoire écrasante :  20 à 10.           Match à sens unique. Etonnamment, les trois Mérois ont tous réalisé le carton plein et ce, la plupart du temps en trois sets, ce qui leur vaut plusieurs perfs. Ils n’ont pas laissé la moindre miette aux Azéens puisque Loghan et Thomas ont aussi remporté le double contre la paire M. Neilz / E. Meunier. C’est encourageant pour la suite.

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